« L’histoire des bus lors de l’occupation, de par sa vérité exposée dans ce livre, ne sera plus jamais cette banalité que transporte le commun. (…)
C’est au cœur de la vie sociale, de la vie familiale que se sont tramées en silences certaines morts de l’autre. Il faut encore, toujours, départager ceux pour qui il y avait silence et invisibilité, de ceux pour qui il y a crime contre l’humanité. Pour les uns, un bus est un bus. Pour d’autre, ce livre nous démontre qu’un bus est une métonymie de la Shoah. »
Didier Philippe, psychanalyste
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